This piece is composed from an algorithmic explosion of more than one million of line-curves that starts from the ground and covers the building façade. Confronting to the architecture, the proliferation is based on the same angle as those of the trusses. Colors used are all randomly generated. Located in the urban space, this is a work on scalability that plays with different levels of reading, whether the viewer is very closed to the piece – where he discovers some very fine line network – or when getting from the other side of the road where the line sizes get closer to the truss ones. The title Mikado refers to the children’s game with sticks. I reenact the player’s starting-point gesture in order to throw millions of lines on the building’s façade.
Cette pièce est composée à partir d’une explosion algorithmique de plus d’un million de lignes-courbes qui part du sol et couvre la façade du bâtiment. En se confrontant à l’architecture, la prolifération est basée sur les mêmes angles que ceux des poutres. Les couleurs utilisées sont aléatoires. Situé dans l’espace urbain, c’est un travail sur l’échelle qui joue avec différents niveaux de lecture, selon que le spectateur est tout près de l’œuvre – il peut découvrir des réseaux de lignes extrêmement fines – ou bien quand le spectateur est de l’autre coté de la rue, et que les lignes prennent la taille des poutres. Le titre Mikado fait référence au jeu d’enfant dont le geste de départ est repris pour jetter des millions de lignes sur la façade du bâtiment.