Flux – according to me – is the result of the temporal transformation of an excess of data and information. And I use this flux to conjure up unstable and dynamic forms. Take Google images for instance, I collect hundreds of them, and I use them as any other kind of motif, putting them into motion, creating precisely a flux out of which some forms emerge. What is interesting then is the meta-image being produced, a meta-image that reveals or creates a meta-history, but also to what extent this flow of images questions our approach to images today, when the Internet generates so many images that we tend to ignore them more and more.
Le flux – pour moi – c’est la transformation dynamique et temporelle de l’excès de données et d’informations. J’utilise la transformation de ce big data en flux pour créer des formes instables et dynamiques. Prenons les images Google, j’en collecte des centaines de milliers que j’utilise comme n’importe quel autre matériau pour créer un mouvement, un flux, et que des formes apparaissent. Ce qui me motive là, c’est la relation qui existe entre toutes ces images, la méta-image qu’elles créent ou la méta-histoire qu’elles peuvent raconter et générer. Mais aussi comment ce flux d’images interroge notre relation avec les images et comment Internet génère une profusion d’images que nous regardons de moins en moins.